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La meilleure de toutes les stratégies « anti-âge » !

Vous trouverez de nos jours toutes sortes de protocoles (et de produits) dits « anti-âge »… qui fonctionneront plus ou moins bien selon ce que vous ferez par ailleurs. Pourtant il semble bien qu’un seul à ce jour ait fait largement ses preuves, expériences et preuves à l’appui.

Ce qui semble hélas très souvent oublié, ou ignoré, c’est ce qui se cache derrière les calories que nous consommons :
. Où ont-elles été trouvées ?
. Proviennent-elles d’aliments riches ou pauvres en nutriments ?

Car la différence est ÉNORME, même si elle n’est ni le seul ni le plus important critère dont il faut tenir compte, le plus important étant précisé ci-après.

Entre un smoothie vert…

…et un « jambon-beurre »…

quelles sont les calories les plus « nutritives » à votre avis ?

Depuis quelques années déjà on a pu lire ou entendre parler des bienfaits de la restriction calorique. Concept qui semble s’opposer à ce qui est conseillé par ailleurs : adapter ses prises caloriques à son mode de vie, ses dépenses physiques, la température extérieure, son âge, etc…. etc…

Je pense à quelqu’un comme Matt Monarch (vegétalien crudivore depuis environ 20 ans) dont la consommation alimentaire en ferait hurler plus d’un en ce qui concerne les quantités. Et pourtant il a une activité intellectuelle et physique intense. Mais… et ce mais est d’importance : TOUT ce qu’il absorbe est exceptionnellement riche en nutriments (jus verts, légumes CRUS, fraîchement cueillis et cultivés dans les meilleures conditions, oléagineux complets… jamais de « calories vides » –qui proviendraient d »aliments raffinés : pain blanc, sauces « mitonnées », sucres divers, boissons « artificielles », ou autres produits pasteurisés, stérilisés autrement dit « morts »-, pas d’aliments cuits, transformés ou stimulants,  pas de sucres, d’alcools, de café, de produits animaux).
Ce qui fait que son corps reçoit le maximum de ce qu’il est possible pour entretenir un fonctionnement au plus haut niveau. Son organisme ne subissant quasiment pas de fatigue digestive en raison du faible volume des quantités absorbées, ses cellules peuvent extraire la totalité des nutriments contenus dans les aliments qu’il consomme :

  • une absorption maximum de nutriments et d’énergie vitale,
  • une dépense minimum d’énergie pour la digestion.

Le calcul des bénéfices est vite fait !

En conséquence parler de « restriction alimentaire » évoque un concept qui, s’il est positif dans tous les cas, peut aussi être porté à son plus haut niveau, ce qu’a choisi de faire Matt.

Cependant il semble bien que cette « restriction » a fait ses preuves sans même tenir compte de la qualité des aliments consommés.
En effet, le Dr Gabriel Cousens dans son livre « Soigner son diabète en 21 jours » (Version américaine  : There Is a Cure for Diabetes) rappelle les recherches faites à ce sujet dès les années 1930 par le Dr Clive McKay à l’Université de Cornell avec une expérimentation sur des rats dont la vie avait été doublée en diminuant de moitié leur nourriture !
Expérience répétée dans les années 1960 à l’Institut Morris H. Ross où des rats ont vécu jusqu’à 1800 jours soit approximativement 180 années humaines.
Dans les années 1970 une recherche déterminante, par les Drs Roy Walford et Richard Weindruch au Centre médical de l’UCLA, révéla que même avec une restriction progressive à un âge moyen les rats augmentaient leur durée de vie de 60%. D’autres recherches par d’autres scientifiques, sur des vers de terre, des mouches de fruits, des truites, etc…  indiquent toutes que, quel que soit l’âge auquel cette restriction est démarrée, une réaction saine est observée sur les gènes.

Une nouvelle avancée dans cette connaissance a démarré dans les années 1990 à l’Université du Wisconsin. Grâce à une nouvelle technologie il a été possible de mesurer l’expression de milliers de gènes sur des souris, des rats, des singes et des humains. Là encore la restriction calorique s’est révélée déterminante sur l’amélioration de la santé. Plus de détails sur ces recherches sont données par le Dr Cousens dans son livre mentionné ci-dessus… et c’est passionnant.

Le Dr Stephen Spindler a découvert au cours de ses expérimentations que la perte de poids due à la restriction calorique améliore la sensibilité à l’insuline, améliore les taux de glucose sanguin, diminue les taux d’insuline dans le sang, baisse le rythme cardiaque et améliore la pression sanguine. En résumé il a démontré que :

  • peu importe l’âge que vous avez, vous obtiendrez un effet anti-âge avec la restriction calorique ;
  • les effets anti-âge peuvent survenir rapidement par un régime à basses calories ;
  • la restriction calorique durant seulement quatre semaines chez des souris a semblé restaurer partiellement la capacité du foie à métaboliser les drogues et être favorable à la détoxification ;
  • la restriction calorique semble diminuer rapidement l’inflammation* et le stress même chez les animaux les plus âgés. (Le Dr Cousens affirme d’ailleurs avoir constaté ces mêmes effets sur les pratiquants d’une semaine de jeûne aux jus verts lors de ses retraites).

* Si vous souffrez d’arthrite, de rhumatismes, de tous ces troubles articulaires qui peuvent empoisonner une vie, tentez quelques jours de jeûne aux jus verts et observez les résultats.

Informés de tous ces bienfaits, il nous reste donc à mesurer sérieusement notre consommation alimentaire et à choisir sa qualité si nous souhaitons vivre une longue vie « saine »… car vivre longtemps et malade ne présente que peu d’intérêt, non ?

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