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Traiter le cancer du pancréas avec des enzymes…

Encore une courte traduction que nous devons au travail exceptionnel de Ty Bollinger dans le domaine de l’information sur le cancer. Il s’agit ici de la traduction du langage parlé, et donc parfois avec des répétitions…

Dr. Linda Isaacs : Eh bien, quand j’ai rencontré Nick Gonzales il étudiait le travail du Dr Kelley. Et la plupart de ce que j’aurais à dire est en effet reçu de seconde main. Je veux dire que j’ai rencontré moi-même le Dr Kelley. Mais la plus grande partie du travail de Nick était, pour ainsi dire, fait avant que j’entre en scène.

Mais d’un autre côté je pourrais dire que les informations que Nick rassemblait faisaient partie de ce qui m’avait convaincu que c’était la direction dont j’avais besoin, parce que c’était des données convaincantes et il n’y avait personne d’autre que Nick et moi à aller dans ce sens. Le Dr Kelley était un orthodontiste de formation. Et il se dirigea vers le traitement du cancer parce que lui-même devint très, très malade par ce qui était presque certainement un cancer du pancréas.

Maintenant c’était au début des années soixante, alors il n’y avait pas de scanners et la seule façon de faire une biopsie était d’opérer. Et donc très souvent le cancer du pancréas était diagnostiqué par autopsie à cette époque parce qu’il n’y avait pas de raison d’emmener quelqu’un dans une salle d’opération pour prouver une hypothèse académique quand tout le monde pouvait voir qu’il était malade et sur le chemin de la mort.

Le Dr Kelley avait perdu énormément de poids. Son examen rapportait qu’il avait une masse surgissant hors de son abdomen. Et son docteur dit que cela ressemblait à un cancer du pancréas. Il avait quatre jeunes enfants. Il avait des tas de raisons de vivre. Il était en fait à la fin de sa trentaine, au début de sa quarantaine, quelque chose comme ça. Il était donc très motivé pour trouver le moyen de s’en sortir.

Apparemment la première chose qui arriva fut sa mère venant en visite et jetant tout la malbouffe qu’il avait, parce qu’il était un dentiste, un orthodontiste. Il savait tout au sujet de la nutrition, mais tout simplement il ne l’appliquait pas. Elle jeta toute cette malbouffe et il se stabilisa mais n’allait toujours pas très bien.

Ensuite il ajouta des enzymes pancréatiques dans un effort d’aide à ses problèmes de digestion parce que, comme beaucoup de malades du cancer du pancréas, il avait d’énormes difficultés à simplement digérer sa nourriture, un tas de gaz, etc… Alors il pris de grosses quantités d’enzymes pancréatiques. Et ensuite il commença à les prendre entre les repas et il observa que l’aspect de la tumeur semblait changer.

Alors sur cette base il fit quelques recherches et découvrit les travaux du Dr Beard. Mais il avait noté le changement de sa tumeur sur son abdomen quand il avait pris lui-même de larges doses d’enzymes pancréatiques. Alors les morceaux de son programme de traitement se mirent en place petit à petit. Il s’aperçut qu’en prenant de plus en plus d’enzymes il commençait à se sentir mal. Et il découvrit que les irrigations du côlon au café pouvaient l’aider à se sentir mieux.

Donc l’idée ici c’est que les enzymes en faisant leur travail, créent des déchets dont les irrigations au café aident à se débarrasser.

Et ce qui arriva, c’est que peu à peu avec une alimentation de qualité, avec les enzymes pancréatiques, et avec les irrigations au café, il alla mieux.

Parce qu’il alla mieux les gens, le bouche à oreille étant ce qu’il est, et qu’il n’y avait pas d’internet à cette époque… mais les gens l’ont su et ont commencé à venir vers lui. Alors, petit à petit sa pratique professionnelle changea, des gens souhaitant régler leur problèmes de dents à ceux qui souhaitaient guérir leur cancer.

Et il rassembla de plus en plus de cas de gens qui auraient dû être morts et qui allaient bien après de longues années. C’est alors qu’intervient Nick qui commença à collecter les données pour aller dans ce sens en termes de documentation sur cette approche particulière.

Ty Bollinger : Maintenant les chiffres que j’ai lus, et nous avons interrogé le Dr Gonzalez, il dit qu’il avait personnellement  je crois examiné dix mille cas.

Dr. Linda Isaacs : Exact.

Ty Bollinger : Mais les chiffres que j’ai lus révèlent qu’au total le Dr Kelley a plus de trente mille cas documentés de différents types de cancer. Et plus de quatre-vingt dix pour cent, je pense, avec un taux de survie de cinq ans sur ces trente mille cas. C’est plutôt stupéfiant.

Dr. Linda Isaacs : C’est ça. Je ne peux pas vraiment commenter la justesse de ces statistiques. Mais il a certainement eu un nombre énorme de patients qui allaient bien alors qu’ils auraient dus être morts.

(Traduction de l’article de Ty Bollinger)

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