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Lorsque le diagnostic du cancer est plus dangereux que la maladie…. : les alternatives – 1ère partie

Voici la traduction d’un très long article, extrait du numéro d’été du magazine Get Fresh! qui m’a interpellée d’autant qu’il intégrait une interview du Dr Thomas LODI, cancérologue renommé, spécialiste des traitements alternatifs. Vous pouvez lire plusieurs articles le concernant sur notre blog (ici, ici , et  ici et encore là) .

Cet article m’a appris que le protocole de diagnostic du cancer pouvait être aussi dangereux, voire plus, que la maladie elle-même et je pense que nombre d’entre vous vont le découvrir aussi !

Lorsque Rachel Jones (son nom a été changé afin de préserver son anonymat) a trouvé une grosseur dans son sein gauche, elle a craint le pire et alla directement chez son généraliste. Lui ayant confié sa crainte, il l’envoya faire des tests et quelques jours plus tard, elle était au département du cancer du sein dans un hôpital local, examinée par un spécialiste.

Il programma une mammographie et l’informa qu’elle avait besoin d’une biopsie immédiatement. Après lui avoir expliqué que la biopsie impliquait l’insertion, plusieurs fois, dans sa grosseur d’une aiguille reliée à une seringue,  afin de récolter des cellules pour les tester, elle devint réticente et lui demanda quelles autres alternatives existaient.

Il l’assura que non seulement la procédure était sans danger mais également essentielle, et qu’en fait c’était la seule façon de déterminer de manière sûre si la grosseur était inquiétante ou pas. Convaincue qu’il n’y avait pas d’autres options, elle accepta.

La procédure effectuée, elle rentra chez elle et attendit les résultats. Elle savait déjà que si les nouvelles étaient mauvaises, elle chercherait des traitements alternatifs et passa un peu de temps sur internet à les chercher.

Mais lorsqu’elle trouva des informations sur les tests qu’elle venait de passer, elle n’en crut pas ses yeux. Elle fut informée des dangers des mammographies, mais trouva également des articles déclarant que les biopsies n’étaient pas sans risque et pouvaient augmenter les chances de propagation du cancer.

Heureusement, dans le cas de Rachel, la grosseur était bénigne. Mais chaque année, plus d’un million de femmes dans le monde ne sont pas si chanceuses. Non seulement on leur diagnostique un cancer, mais on le leur diagnostique en utilisant une méthode qui peut propager leur cancer.

Lorsqu’un cancer est suspecté, une biopsie implique de retirer soit un échantillon des cellules de la zone en question, soit la tumeur en entier. L’échantillon est ensuite envoyé  à un pathologiste (un médecin spécialisé dans les maladies et leurs diagnostics)  dans  à un laboratoire pour qu’il soit examiné sous un microscope.

La première chose que le pathologiste cherche est le taux de division cellulaire. Si 15% de cellules de l’échantillon sont en train de se diviser, alors qu’1% des cellules de ce type devraient le faire à n’importe quel moment, cela indique une grosseur maligne. Dans un tel cas, avant de déclarer qu’il s’agit d’un cancer, il ou elle donne également un nom au cancer et ajoute des informations concernant son agressivité et autre. Ce sont là des informations essentielles pour le traitement conventionnel d’un cancer.

Mais ce n’est pas la procédure sans risque comme elle est souvent présentée. Prenons une femme avec une tumeur cancéreuse du sein localisée à un pouce de la surface de la peau qui subit l’aspiration d’une fine aiguille de biopsie. Chaque fois que cette aiguille, ayant percé la tumeur et collecté des cellules, voyage dans un sens puis dans l’autre au travers des tissus sains, il peut s’échapper des cellules cancéreuses dans ces tissus et également dans les couches de peau au travers desquelles elle passe.

Le système immunitaire peut prendre en charge ces cellules cancéreuses, ou pas. Où un cancer est présent, le système immunitaire ne fonctionne déjà pas comme il le devrait; cela c’est certain.

Mais la plupart des personnes qui subissent une biopsie n’ont aucune idée des risques impliqués. Comme à Rachel, on leur a dit que la procédure n’était pas seulement sûre mais également essentielle. Pourtant si elles sont l’une de ces personnes malchanceuses à avoir un cancer, au moment où elles entendent le diagnostic redouté, elle ont déjà subi une procédure qui peut avoir empiré les choses.

Thomas Lodi, médecin, a une clinique spécialisée dans le cancer en Arizona où il associe le nettoyage aux jus crus et une impressionnante suite de traitements alternatifs avec quelques-uns des plus efficaces traitements médicaux, incluant une forme de chimiothérapie ciblée à petites doses appelée Thérapie de Potentialisation de l’Insuline (Insulin Potentiation Therapy). Je lui ai parlé pour connaitre ses vues sur les biopsies et quelles sont les alternatives dans le cas où un cancer est suspecté.  

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